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Lycée 1849

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 Lycée 1849, neuf personnages en quête d'identité et d'auteur
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Une collection de dessins

           Ce sont en tout dix feuillets sur lesquels, caricaturés à la plume et au crayon sec, figurent neuf personnages.     L'actuel détenteur de la collection affirme avoir toujours vu ces feuilles de papier d'assez grande dimension (de l'ordre de 20 x 25 cm) exposés dans sa "maison de famille". Neuf d'entre-eux portent d'ailleurs encore la trace rouillée des punaises qui servaient à les fixer.

            Aucun mystère quant au lieu et à la date de la réalisation de cette série : le lycée de Rennes est indiqué sur quatre de ces dessins et la date - 1849 - figure sur trois d'entre eux.

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Mon professeur de philosophie au lycée de Rennes

             Nous voilà donc ramenés près de 170 ans en arrière, dans les murs pluricentenaires du vieil établissement.   Ce dernier venait juste de retrouver, grâce à la révolution de 1848, l'appellation de "Lycée" acquise en 1802 mais abandonnée depuis 1815 au profit de la dénomination "Collège Royal".

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Photo du plan de l’établissement dressé en 1858 par J-B Martenot (Arch. Mun. 2Fi 2663)
Remarquez les trois espaces distincts ménagés dans la « Cour des Jeux » réservée aux internes ; ils séparent les « Petits » (primaire), les « Moyens » (6è-4è) et les « Grands » (de droite à gauche).

             Grâce au "coup de patte" d'un élève de terminale, nous y voyons surgir des silhouettes familières aux potaches : trois professeurs, deux inspecteurs, deux remarquables condisciples, un "pion" et un "sous-censeur" ; censeur et proviseur, appartenant aux invisibles sphères supérieures, ne font pas partie du lot.

            Selon leur légende, trois des dessins ont été réalisés "en cours de physique". Faut-il en déduire une faible appétence de notre artiste pour les sciences ? Ou - plus grave - le signe d'un relâchement particulier aux cours de  physique-chimie ? Il faut dire que l'espace dévolu alors à ces disciplines était si excentré que d'éventuels débordements avaient toute chance de passer inaperçus ! La salle de cours comme le laboratoire de chimie et le cabinet de physique attenants, perchaient, en effet, au 2ème étage, au-dessus de la Chapelle, à droite de l'entrée de la  rue Saint-Thomas ainsi qu'indiqué sur le plan tracé par V. Boullé en 1836.

[C'est là, notons-le, que Félix Hébert, futur modèle du Père Ubu, fera ses premières armes sept ans plus tard (1856) avant de partir à Angoulême (et ailleurs) pour ne revenir qu'en 1881].

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Détail du plan de Vincent Boullé de 1836 (Arch. mun. 2 Fi 2659)


Les professeurs

Commençons par les professeurs et - à tout seigneur ... - par celui de Physique.

            Debout devant le tableau amovible, il est représenté de profil, la main gauche désignant mollement un schéma. C'est un homme bien en chair, encore jeune, à la mise très soignée. Cheveux mi-long bien peignés, courte barbe bien taillée ; la redingote à col et manchettes de velours foncé, est entr'ouverte, laissant voir le gilet et la chemise agrémentée d'une lavallière sombre ; les pantalons assez resserrés en bas, dissimulent partiellement de fines chaussures à bout pointu.

Tout en lui respire la respectabilité. Rien d'étonnant à cela : un professeur de lycée fait alors partie des notabilités.

Là où l'image devient ambiguë et où le message se corse, c'est à l'examen du croquis et à la lecture de la légende.

La "formule du pendule" inscrite au tableau est erronée ! Notre élève-dessinateur l'aurait-il mal recopiée ? Ce n'est pas à exclure mais comme il a pris la peine d'écrire en légende, au crayon, Professeur de Physique / dit Conus, cela laisse planer un doute sur les réelles capacités du docte enseignant ... !

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Caricature du professeur de Physique (coll. particulière)

            Pouvons-nous identifier ce professeur de Physique ?

            Sur le "Registre personnel des fonctionnaires" du Lycée impérial, commencé en 1855, le seul professeur de Physique, entré au lycée avant 1849 est Jean Aimable Lallemant. Originaire de l'Orne où il est né à Canapville le 17 janvier 1816, il aurait 33 ans à cette date, ce qui est compatible avec le personnage du dessin.

Entré à 20 ans à l'Ecole Normale supérieure, il était titulaire d'une licence de Maths-Physique mais avait échoué à l'agrégation. C'est en tant que "chargé de cours" qu'il est nommé à Rennes le 12 octobre 1847 en provenance du lycée de Bourges, lycée qu'il retrouve en s'y faisant muter en 1853.

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Caricature de Monsieur Thomas (coll.particulière)

            Au moins "Monsieur Thomas, Professeur de Mathématiques au lycée de Rennes" n'est-il pas anonyme !

            Tout petit au centre de la feuille, il parait un tantinet ridicule : on dirait qu'il se redresse pour mieux lutter contre la masse de cheveux longs et soigneusement bouclés qui écrasent sa silhouette. Malgré ses vêtements impeccablement ordonnés, cette chevelure lui donne l'allure d'un "rapin".

            Crayon pointé comme un fleuret, est-ce son cours qu'il défend ? Un zoom sur ce qu'il tient dans la main gauche nous apprend qu'il ne s'agit pas d'une liasse de notes mais d'un carnet de retenue ! Le fringant Monsieur Thomas entend se faire respecter.

            C'est sa deuxième et dernière année au lycée. Arrivé l'année précédente de Vannes où il avait rang de "Régent de Maths spé", Louis Thomas, 34 ans, licencié de Maths-Physique, n'est que chargé de cours au lycée de Rennes. Né à Plumelec (Morbihan) il avait auparavant exercé à Auray, Nantes, Dinan, Lunéville, Bourg, Brest et Vannes.

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Détail du dessin de Monsieur Thomas montrant crayon et carnet de retenue

             Aucune ironie de la part de notre élève mais - au contraire - de la ferveur dans la représentation de "[son] professeur de philosophie" qu'il croque en pleine envolée démonstrative.

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Dessin "mon professeur de philosophie" en cours (coll. part.)

            Le professeur a choisi de s'exprimer assis, depuis la haute et belle chaire munie d'un pupitre à l'avant et protégée à l'arrière par un dosseret. Mais - main gauche en appui sur le bras du fauteuil - il semble prêt à se lever pour convaincre l'auditoire. Signe d'originalité ? Il a troqué le traditionnel gilet pour un tricot à carreaux et une chemise assortie. Des cheveux clairs et souples, coupés "au carré", un nez fort, chaussé de lunettes, des pommettes saillantes, une lèvre supérieure courte masquée par une moustache mais un menton glabre et massif. L'ensemble dégage une impression d'autorité encore juvénile.

            Les professeurs de philosophie n'étant pas légion, l'identification se fait sans peine.

            Né en 1823 à Lyon, entré à l'Ecole Normale Supérieure à 18 ans en 1841, il est arrivé au lycée de Rennes en octobre 1844  - l'année de son agrégation - et y fut enregistré sous le nom de François Antoine Rondelet (mais ses biographies s'accordent à le prénommer Antonin François). Chargé tout d'abord de suppléances en philosophie, il y obtient une chaire quatre ans plus tard en 1848. Il a entre-temps réussi à rédiger et à soutenir, en 1847, ses deux thèses (une en français et une secondaire en latin) portant l'une et l'autre sur Aristote. En 1849 il n'a que 26 ans et une belle carrière de philosophe et d'écrivain devant lui.

Après avoir quitté Rennes en 1850 pour les lycées de Poitiers puis de Marseille, il enseigne brièvement la littérature française à l'université d'Aix avant de trouver un poste de philosophie à l'université de Clermont (1858). Catholique social il accepte en 1871 de quitter l'Université pour la Faculté catholique de Paris. Il meurt à Versailles en 1893.

            Un second dessin représentant Rondelet vient conforter, s'il en était besoin, notre identification.   Cette fois-ci, coiffe plantée sur la tête, il est en toge : d'énormes palmes académiques sont brodées sur sa poitrine, le tissu frémit, le geste étant toujours aussi véhément.

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Photo de Rondelet en toge (coll. part.)

            Prononcer le discours de distribution des prix était un des "privilèges" dont on accablait les jeunes profs débutants. Or ce n'est pas un mais deux discours qu'on sollicita de Rondelet ! Dans le premier le 13 août 1845 - il entretint son auditoire Au sujet de l'histoire de la philosophie -, le second, le 10 août 1848, s'intitulait (déjà !) Au sujet des attaques dirigées contre les études classiques.

            S'il était au lycée depuis la 4ème (ce qui n'est pas sûr) notre "artiste" a sans doute entendu les deux.


Les inspecteurs

Tout professeur pouvait s'attendre d'un jour à l'autre, à recevoir la visite d'un inspecteur. Les inspecteurs généraux venus de Paris débarquaient en effet à l'improviste au lycée où une chambre "indépendante", leur était réservée dans l'appartement du Proviseur.

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Chambre de l'inspecteur (plan Boullé de 1836. arch. mun. 2Fi 2660)

            Notre artiste en a "croqué" deux sur un même feuillet ce qui ne signifie pas qu'ils se soient trouvés au lycée ensemble. Une chose est sûre : ils n'ont pas trouvé grâce à ses yeux !

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Photo de la feuille des "inspecteurs de littérature et de mathématiques" (coll. part.)

L'"inspecteur de littérature" (à gauche), front dégarni, sourcils broussailleux, attitude revêche est représenté grâce au jeu des ombres, comme un parfait abruti. Quant à son collègue l'"inspecteur de mathématiques", aussi rond qu'il est sec, vêtu d'un costume à capuche et doté d'une sorte de de tonsure qui font penser à un ecclésiastique, il affiche une bonhommie gourmande que semble démentir la "règle/férule" qu'il dissimule derrière son dos. Méfiance !


Les agents du maintien de l'ordre au lycée

La collection nous en propose deux exemples.

            Le premier c'est le portrait de "Mr Rabat-Joie, pion de la 1ère étude". Le pion c'est en argot de potache, le nom du maître d'étude ; en accède au rang de maître d'étude après avoir été aspirant et on peut monter en grade, certificats de licence aidant, pour devenir répétiteur.

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Mr Rabat-Joie, pion de la 1ère étude (coll. part.)

Rabajoy comme Portejoie sont des noms propres mais nous n'avons pas trouvé au lycée, en 1849, de maître d'étude portant ce nom ou même un nom approchant. Force est de conclure que Rabat-Joie est un surnom qui doit tout à la seule personnalité de son titulaire. De fait le surveillant, plus très jeune, que l'on voit ici ne poursuit pas d'études. A part un feuillet où il a loisir d'inscrire les retenues, et la bougie qui nous rappelle que le temps de l'éclairage au gaz est encore à venir, son bureau est parfaitement vide. Accoudé au bureau, la tête entre les poings, le regard tendu vers le fond sombre de l'étude, il affiche un ennui désespéré qui incite à la prudence.

Remarquons cet autre modèle de chaire, représenté ici, comme dans le croquis de Rondelet, en "perspective inversée".

            Le second personnage incarnant le maintien de l'ordre le voici :

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Un sous-censeur au lycée de Rennes (coll. part.)

            La légende de la caricature, Un sous-censeur au lycée de Rennes, laisse perplexe car cette fonction n'existe pas dans un lycée. Admiration pour les capacités du personnage ou ironie face à son évidente ambition ? Dans l'un et l'autre cas pour percer son identité il faut chercher du côté d'un subalterne.

            Hiérarchiquement en dessous du Proviseur et du Censeur des études, vient l'Aumônier ce qui ne correspond pas. Mais un cran en dessous dans la hiérarchie administrative on trouve le Surveillant Général. Si c'est le "Surgé" qui est désigné sous le sobriquet de "sous-censeur", Matthieu-Marie Penpenic est notre homme !

            Penpenic est né le 1er janvier 1819 à Saint-Avé dans le Morbihan. Il est titulaire du baccalauréat ès lettres ce qui lui a permis d'exercer comme Régent de 8ème puis, en septembre 1843, de 7ème à Landerneau. Il préfère cependant quitter l'enseignement élémentaire pour entrer quelques semaines après, le 22 octobre, au lycée de Rennes, en qualité de maître d'étude ; cinq ans plus tard, en janvier 1849, il est promu, à 30 ans, surveillant-général.

            Notre artiste qui l'a connu en tant que pion, n'a pas manqué de remarquer cette récente ascension. Il le représente en mouvement ; mince et droit flottant un peu dans sa courte redingote, le visage émacié et fatigué, l'œil grand ouvert comme aux aguets. "Qui s'y frotte, s'y pique" serait-il l'avertissement de ce dessin ?


Les condisciples

Les deux derniers personnages de la collection ont été dessinés en cours de Physique. Comme nous avons déjà identifié le professeur, ces deux-là ne peuvent être que des condisciples sans que nous sachions a priori ce qui leur a valu d'être distingués.

            Leur seul point commun est un air triste et relativement âgé.

            Mais autant celui que la légende désigne comme étant Jollivet Réné, dit Absalon, est "tiré à quatre épingles", autant celui qui est qualifié de capucin, est mal et pauvrement vêtu : son habit, composé d'un gilet étriqué et d'un pantalon trop court tenu par des bretelles, semble grossièrement recousu par endroit ; ses grands souliers bas et plats, aux semelles cloutées, ont des bouts carrés totalement démodés. Sur le second dessin qui le représente, cahier sous le bras droit, parapluie dans la main gauche, il s'apprête à sortir enveloppé dans une ample redingote rafistolée à l'épaule et coiffé d'un feutre informe, l'air encore plus désespéré.

 Deux '' capucins ''  :

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            Il n'est pas interdit de penser que plutôt qu'à des jeunes gens, on a affaire à des gens plus âgés qui, pour une raison que nous ignorons, ont repris des études au lycée. Une situation pittoresque, propre à attirer l'attention et à susciter surnoms et quolibets de la part de leurs jeunes "camarades".

            Nous ignorons si en 1849, le mot "capucin" signifiait encore - comme pour Voltaire - un "bigot ignorant" mais le terme est à coup sûr, dépréciatif ! Quant au surnom d'Absalon accolé au nom de Jollivet, il pourrait tout autant rappeler une bévue due à l'ignorance de l'intéressé en matière biblique que signaler à tout un chacun ce que ledit Jollivet a en commun avec le héros malheureux : son épaisse chevelure !

On pourrait déduire du prénom écrit "Réné", que l'élégant Jollivet "parlait du nez" mais comme cette orthographe se retrouve à l'époque dans des documents d'état-civil du nord de l'Ille et Vilaine, cette nasalisation - comique sans doute - ne lui est probablement pas personnelle.

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Réné Jollivet dit Absalon (coll. part)


A la recherche de l'auteur des dessins

Il fallait en savoir plus sur l'auteur des dessins et pour cela prendre comme point de départ, "la maison de famille" où trois générations successives - au moins - avaient pu les contempler. Grâce au concours actif du propriétaire de la collection dont les études généalogiques étaient déjà très complètes, nous avons pu concentrer notre recherche sur la lignée issue de Louis-François Aubrée, procureur royal d'Hédé sous l'Ancien Régime, notaire et maire d'Hédé sous la Restauration, dont certains biens étaient restés indivis entre ses fils et ses filles jusqu'à leur partage au début de la IIIème République.

            A ce stade notre correspondant attira notre attention sur un certain Félix Aubree, personnage d'autant plus intéressant que nous le connaissions déjà pour avoir été, en 1867, le 1er trésorier de ce qui deviendra l'Association des Anciens Elèves du Lycée de Rennes !

            De sa génération, dans la famille, il était le candidat le plus sérieux pour endosser la paternité des caricatures ; ses frères avaient 4 et 2 ans de plus que lui et avaient déjà quitté le lycée en 1849. Mais il restait une incertitude, un cousin doublement germain [leur mère et leur père respectifs étaient sœurs et frères] qui était de deux ans son cadet.

            Né en 1831, Félix Aubrée, fils de Louis Aubrée, négociant en vin rue Nantaise à Rennes [un fils cadet du maire d'Hédé, Louis-François], est bien en classe de 3ème au lycée en 1846-47, en seconde en 1847-48, en rhétorique en 1848-49 et sans surprise en classe de philosophie en 1849-50. Le cousin, présent dans l'établissement au premier trimestre 1849, pouvait connaître et dessiner quelques-unes des personnes caricaturées dans la série, mais Félix Aubrée est le seul à pouvoir se vanter d'avoir à cette date comme professeur de philosophie le brillant Antonin-François Rondelet !

            Baccalauréat en poche, notre artiste se dirige vers des études de droit. Il est qualifié d'avocat lors de son mariage, à Dol, en 1858, avec Marie Anne Victoire Rame, fille d'un ancien notaire. Il quitta ensuite le barreau pour la fonction publique en devenant greffier (on rêverait de connaître ses croquis d'audience !). Lorsqu'en 1867, il fonde avec Félix-Martin Feuillée, l'Association de bienfaisance des Anciens Elèves du Lycée de Rennes, il a atteint le grade de Greffier en chef de la Cour (Cour d'appel). De 1889 à 1891 il assure la présidence le l'Association des Anciens Elèves. Il meurt accidentellement, en 1892, à l'âge de 61 ans.

            Soyons reconnaissants à Félix Aubrée, non seulement d'avoir fondé l'Association des Anciens Elèves dont l'Amélycor est un peu héritière mais surtout - privilège rare - de nous donner à voir un peu de l'atmosphère et des figures du lycée au milieu du XIX ème siècle !


Lire :

Norbert Talvaz, L'association des anciens élèves du lycée de Rennes, Amélycor, Rennes, 1997

B. Wolfus (professeur de physique), Dit Conus, in Le lycée de Rennes, Histoires et légendes, 1802-2002, pp15-16, éd. Les mille de Zola, Rennes 2002.

Agnès Thépot,"Coups de patte (...non dénuées de griffes)", l' Echo des colonnes, n°26, p 7-8, Amélycor, 2007.

Agnès Thépot, "99,9 % et une question", L'Echo des colonnes, n° 43, p 2-3, Amélycor, 2013.

Pour compléter on lira sur la vie au lycée, le témoignage de l'ancien professeur de physiologie à l'Ecole de Médecine, Charles Lefeuvre (1833-1929) : il était entré au lycée en 1848 et y était resté 10 ans ; in Zola, le lycée de Rennes dans l'histoire, p 53-56, Apogée, Rennes, 2003.

Il est intéressant de comparer avec les deux caricatures la photo d'Antonin Rondelet présente sur le site : https://gw.geneanet.org/jeannoeln?n=rondelet&oc=&p=antonin+francois  

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